Politique Groupe en matière d’éthique et de travail décent

Consultez notre Politique Groupe en matière d’éthique et de travail décent, un document de référence essentiel qui incarne les valeurs, les principes et les engagements du Groupe GINDRE en faveur de pratiques responsables, humaines et durables, à l’échelle internationale. 

 
 INTRODUCTION
 
 
Le Code d’Ethique est le document de référence commun à tous nos managers et employés dans le monde entier, quel que soit le continent ou le pays où le Groupe GINDRE opère, dans la diversité des cultures, ainsi qu’à tous nos clients et parties prenantes.
Tous les employés doivent comprendre et adhérer aux valeurs et aux principes directeurs énoncés dans la présente politique d’éthique.
Nos fournisseurs et partenaires industriels et commerciaux sont tenus d’appliquer les normes habituelles reconnues au niveau international, notamment en ce qui concerne leurs employés.
Les cadres doivent se conformer à cette politique éthique et s’assurer que leurs équipes ont été informées de son existence et de son contenu.
 
 
VALEURS DU GROUPE
 

 
Fort de ses 200 ans d’histoire, le groupe GINDRE a su évoluer tout en conservant son esprit d’entreprise familial et à taille humaine. Sa croissance internationale continue est basée sur une culture forte entretenue et enrichie par nos collaborateurs du monde entier.
 
Aujourd’hui, nos équipes et la communauté mondiale qu’elles représentent sont nos plus grandes forces. Nous sommes fiers de notre culture et de nos valeurs fondamentales qui sont à la base de la politique du Groupe.
 
Le Groupe GINDRE s’appuie sur la collaboration durable et globale de tous ses collaborateurs. Le partage de valeurs communes favorise notre sentiment d’appartenance. Il guide nos actions individuelles et collectives et contribue à ce que nous travaillions tous dans la même direction, recherchions le même avenir pour notre Groupe (et au-delà) et améliorions l’épanouissement individuel de notre communauté mondiale.
 
 

L’innovation
Promouvoir l’innovation par le biais d’un processus d’amélioration continue comme ligne directrice dans toutes nos actions. Promouvoir une organisation agile, rester ouvert aux nouvelles idées et à l’évolution du marché pour la croissance et le succès de nos clients internes et externes.
Le monde change, nous changeons avec lui !
 
Durabilité
Intégrer la durabilité, l’éthique et la responsabilité dans toutes nos décisions et actions.
 
Engagement
S’approprier nos actions, promouvoir le leadership, la responsabilisation et l’esprit d’entreprise au sein de l’organisation afin de mettre notre engagement au service des attentes de nos partenaires.
 

La bienveillance
Nous nous soucions de nos employés, en favorisant leur développement dans un environnement de travail sûr et équilibré. Nous nous soucions de nos partenaires, en créant des conditions commerciales équitables et durables. Nous nous soucions de notre planète, de notre impact social et environnemental.
 
La coopération
Adopter une approche de collaboration et de travail d’équipe avec notre personnel, nos clients et nos fournisseurs, basée sur l’intégrité, l’honnêteté, la loyauté et le respect.
 
 

PRINCIPES D’ACTION ET PRIORITÉS

Respect des personnes et des partenaires

Les femmes et les hommes sont le bien le plus précieux du groupe GINDRE. Basé sur les valeurs de notre Groupe, le respect des personnes est la pierre angulaire des relations entre les employés et/ou les partenaires du Groupe. Il est au cœur de nos relations à long terme avec nos clients et nos parties prenantes.

Le rôle du management est essentiel pour montrer l’exemple et offrir à nos équipes un environnement professionnel propice au développement de leurs compétences et à l’expression de leur talent dans un cadre de travail sûr et sécurisé.

Ces principes sont appliqués, dès le sourcing et avant même l’intégration de nos collaborateurs ou de ceux de nos partenaires, conformément à notre Code de conduite du recrutement du Groupe.

 

L’orientation client

Le groupe GINDRE s’engage à répondre aux attentes de ses clients. Cela nécessite l’engagement total de chaque employé, soutenu par la politique de qualité du groupe qui vise à atteindre l’excellence dans la qualité des services et des produits. Le groupe GINDRE place l’innovation au cœur de l’amélioration continue des performances des produits et des processus.

 

Conformité juridique

Le groupe GINDRE se conforme aux lois et normes nationales et internationales en vigueur. Chaque employé est tenu d’éviter toute activité ou conduite susceptible de mettre le Groupe dans des situations illégales qui pourraient nuire à sa réputation. Conformément aux lois applicables à nos activités et aux règles du groupe GINDRE, le non-respect de ces principes peut entraîner des mesures disciplinaires et/ou des poursuites judiciaires, tant pour le groupe que pour la personne fautive.

 

Créer une valeur durable

En tant qu’acteur expérimenté et pleinement engagé pour relever les défis énergétiques de demain, le groupe GINDRE se préoccupe de notre planète et de notre impact social et environnemental. Notre objectif est de créer de la valeur pour l’ensemble de notre écosystème afin d’assurer la durabilité et le développement de notre entreprise, de nos partenaires et de l’environnement. Le groupe GINDRE intègre le développement durable, l’éthique et la responsabilité dans toutes ses décisions et actions, et attend de tous ses partenaires internes et externes qu’ils fassent de même.

PERSONNES ET DROITS DE L’HOMME

PRINCIPES DES NATIONS UNIES

Le groupe GINDRE adhère pleinement aux Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme, approuvés dans la résolution 17/4 du 16 juin 2011 du Conseil des droits de l’homme, mettant en œuvre le cadre « Protéger, respecter et réparer », pour aborder les questions des droits de l’homme et des sociétés transnationales et autres entreprises ; y compris les principes suivants de la responsabilité des entreprises en matière de respect des droits de l’homme :

 

« Principes fondamentaux

Les entreprises doivent respecter les droits de l’homme. Cela signifie qu’elles doivent éviter de porter atteinte aux droits de l’homme d’autrui et qu’elles doivent remédier aux effets négatifs sur les droits de l’homme dans lesquels elles sont impliquées.

La responsabilité des entreprises de respecter les droits de l’homme se réfère aux droits de l’homme internationalement reconnus – entendus, au minimum, comme ceux exprimés dans la Charte internationale des droits de l’homme et les principes concernant les droits fondamentaux énoncés dans la Déclaration relative aux principes et droits fondamentaux au travail de l’Organisation internationale du travail.

La responsabilité de respecter les droits de l’homme exige que les entreprises :

(a) Éviter de causer ou de contribuer à des impacts négatifs sur les droits de l’homme à travers leurs propres activités, et traiter ces impacts lorsqu’ils se produisent ;

(b) s’efforcer de prévenir ou d’atténuer les incidences négatives sur les droits de l’homme qui sont directement liées à leurs activités, produits ou services par leurs relations d’affaires, même si elles n’ont pas contribué à ces incidences.

La responsabilité des entreprises en matière de respect des droits de l’homme s’applique à toutes les entreprises, quels que soient leur taille, leur secteur, leur contexte opérationnel, leur propriété et leur structure. Néanmoins, l’ampleur et la complexité des moyens mis en œuvre par les entreprises pour s’acquitter de cette responsabilité peuvent varier en fonction de ces facteurs et de la gravité de l’impact négatif de l’entreprise sur les droits de l’homme.

Afin de s’acquitter de leur responsabilité en matière de respect des droits de l’homme, les entreprises devraient mettre en place des politiques et des procédures adaptées à leur taille et à leur situation :

(a) Un engagement politique à assumer leur responsabilité en matière de respect des droits de l’homme ;

(b) un processus de diligence raisonnable en matière de droits de l’homme afin d’identifier, de prévenir, d’atténuer et de rendre compte de la manière dont ils traitent leurs incidences sur les droits de l’homme ;

(c) les processus permettant de remédier à toute incidence négative sur les droits de l’homme qu’ils provoquent ou à laquelle ils contribuent.

 

Principes opérationnels

Engagement politique

Pour intégrer leur responsabilité en matière de respect des droits de l’homme, les entreprises devraient exprimer leur engagement à assumer cette responsabilité par le biais d’une déclaration de politique générale :

(a) est approuvé au niveau le plus élevé de l’entreprise ;

(b) s’appuie sur une expertise interne et/ou externe pertinente ;

(c) Stipule les attentes de l’entreprise en matière de droits de l’homme à l’égard de son personnel, de ses partenaires commerciaux et d’autres parties directement liées à ses activités, produits ou services ;

(d) est accessible au public et communiquée en interne et en externe à l’ensemble du personnel, aux partenaires commerciaux et aux autres parties concernées ;

(e) se reflète dans les politiques et procédures opérationnelles nécessaires pour l’intégrer dans l’ensemble de l’entreprise.

Diligence raisonnable en matière de droits de l’homme

Afin d’identifier, de prévenir, d’atténuer et de rendre compte de la manière dont elles traitent leurs incidences négatives sur les droits de l’homme, les entreprises devraient faire preuve de diligence raisonnable en matière de droits de l’homme. Ce processus doit comprendre l’évaluation des incidences réelles et potentielles sur les droits de l’homme, l’intégration et l’application des conclusions, le suivi des réponses et la communication sur la manière dont les incidences sont traitées. Le devoir de diligence en matière de droits de l’homme : a) devrait couvrir les incidences négatives sur les droits de l’homme que l’entreprise peut causer ou auxquelles elle peut contribuer par ses propres activités, ou qui peuvent être directement liées à ses opérations, produits ou services par ses relations d’affaires ; b) sera plus ou moins complexe selon la taille de l’entreprise, le risque d’incidences graves sur les droits de l’homme, ainsi que la nature et le contexte de ses opérations ; c) devrait être permanent, sachant que les risques en matière de droits de l’homme peuvent changer au fil du temps, à mesure que les opérations de l’entreprise et le contexte dans lequel elle opère évoluent.

Afin d’évaluer les risques en matière de droits de l’homme, les entreprises devraient identifier et évaluer toute incidence négative réelle ou potentielle sur les droits de l’homme dans laquelle elles peuvent être impliquées, soit par leurs propres activités, soit du fait de leurs relations d’affaires. Ce processus devrait

(a) Faire appel à une expertise interne et/ou externe indépendante en matière de droits de l’homme ;

(b) impliquer une consultation significative des groupes potentiellement affectés et des autres parties prenantes concernées, en fonction de la taille de l’entreprise commerciale et de la nature et du contexte de l’opération.

Afin de prévenir et d’atténuer les incidences négatives sur les droits de l’homme, les entreprises devraient intégrer les conclusions de leurs études d’impact dans les fonctions et processus internes pertinents, et prendre les mesures qui s’imposent.

(a) Pour que l’intégration soit efficace, il faut que

(i) la responsabilité de traiter ces impacts est attribuée au niveau et à la fonction appropriés au sein de l’entreprise ; 21

(ii) Les processus internes de prise de décision, d’allocation budgétaire et de contrôle permettent de réagir efficacement à ces impacts.

(b) L’action appropriée variera en fonction :

(i) si l’entreprise commerciale cause ou contribue à un impact négatif, ou si elle est impliquée uniquement parce que l’impact est directement lié à ses activités, produits ou services par une relation commerciale ;

(ii) l’ampleur de l’effet de levier qu’il a exercé pour remédier à l’impact négatif.

Afin de vérifier si les incidences négatives sur les droits de l’homme sont prises en compte, les entreprises doivent contrôler l’efficacité de leur réponse. Ce suivi doit

(a) se fonder sur des indicateurs qualitatifs et quantitatifs appropriés ;

(b) S’appuyer sur le retour d’information provenant de sources internes et externes, y compris des parties prenantes concernées.

Afin de rendre compte de la manière dont elles traitent leurs incidences sur les droits de l’homme, les entreprises doivent être prêtes à communiquer ces informations à l’extérieur, en particulier lorsque des préoccupations sont exprimées par les parties prenantes concernées ou en leur nom. Les entreprises dont les activités ou les contextes opérationnels présentent des risques d’incidences graves sur les droits de l’homme doivent rendre compte officiellement de la manière dont elles y remédient. Dans tous les cas, les communications doivent

(a) avoir une forme et une fréquence qui reflètent l’impact de l’entreprise sur les droits de l’homme et qui soient accessibles aux publics visés ;

(b) Fournir des informations suffisantes pour évaluer l’adéquation de la réponse de l’entreprise à l’impact particulier sur les droits de l’homme ;

(c) ne pas présenter de risques pour les parties prenantes ou le personnel concernés, ni pour les exigences légitimes de confidentialité commerciale.

 

Remédiation

Lorsque les entreprises identifient qu’elles ont causé des impacts négatifs ou y ont contribué, elles doivent prévoir des mesures correctives ou coopérer à leur mise en œuvre par le biais de processus légitimes.

 

Questions de contexte

Dans tous les contextes, les entreprises doivent

(a) se conformer à toutes les lois applicables et respecter les droits de l’homme internationalement reconnus, où qu’ils opèrent ; (b) rechercher les moyens d’honorer les principes des droits de l’homme internationalement reconnus lorsqu’ils sont confrontés à des exigences contradictoires ;

(c) Traiter le risque de causer ou de contribuer à des violations flagrantes des droits de l’homme comme une question de conformité juridique partout où elles opèrent.

Lorsqu’il est nécessaire d’établir un ordre de priorité pour les actions visant à remédier aux incidences négatives réelles et potentielles sur les droits de l’homme, les entreprises devraient d’abord s’efforcer de prévenir et d’atténuer les incidences les plus graves ou celles qu’une réaction tardive rendrait irrémédiables ».

 

POLITIQUE RH DU GROUPE

La politique ressources humaines du groupe GINDRE repose sur 5 piliers.

 

Être le gardien de nos valeurs

L’innovation, la durabilité, l’engagement, la bienveillance et la coopération sont les fondements de toutes nos relations, tant au sein du groupe qu’avec nos partenaires commerciaux. C’est sur ces bases que nous définissons nos priorités stratégiques.

C’est pourquoi l’ensemble de notre politique de ressources humaines (formation, développement, mobilité, rémunération et autres avantages) s’attache à promouvoir ces valeurs qui font de notre groupe l’un des leaders mondiaux de l’industrie du cuivre.

 

Garantir un environnement de travail sûr

Les activités dans lesquelles nous opérons sont intrinsèquement soumises à des risques professionnels. Il est du devoir de chacun de nos employés de faire de la santé, de la sécurité et du bien-être au travail une priorité. Dans ce contexte, nous attendons de l’ensemble de notre encadrement qu’il joue un rôle essentiel pour que chacun se sente impliqué et responsable de son environnement de travail.

 

Encourager l’initiative et le développement personnel

Notre objectif est de permettre à chacun de trouver sa place dans l’organisation, d’être acteur de son développement et de grandir avec le Groupe. Nous favorisons la mobilité interne, chaque fois que cela est possible. Nous voulons que nos collaborateurs cultivent leur employabilité et reçoivent une juste reconnaissance de leur investissement (notamment à travers notre politique de rémunération).

 

Promouvoir un dialogue social ouvert et constructif

Nous voulons favoriser l’expression de tous nos collaborateurs. La contribution du collectif est un puissant outil de performance (groupes de travail, enquêtes, etc.) ; c’est pourquoi nous encourageons un dialogue étroit entre la Direction et les salariés.

Le groupe GINDRE garantit également la liberté d’association de ses employés et la reconnaissance effective du droit à la négociation collective. Nous cultivons un dialogue confiant avec les partenaires sociaux.

 

Équité dans l’emploi et promotion de la diversité

Gindre se mobilise pour l’acceptation de l’autre dans toute sa différence. Nous soutenons les actions sociales et solidaires, convaincus qu’il est du devoir de notre entreprise d’assumer sa part de responsabilité sociale.

Nous nous engageons également à garantir l’égalité des chances et de traitement à tous en matière de carrière. Nous interdisons strictement toute discrimination fondée sur le sexe, la race/l’origine ethnique, l’orientation sexuelle, le handicap ou l’âge dans tous les aspects de l’emploi, y compris le recrutement, l’évolution de carrière et la rémunération.

 

LA SÛRETÉ ET LA SÉCURITÉ EN POINT DE MIRE

Nous respectons toutes les lois et réglementations applicables en matière de salaires, d’avantages sociaux, d’heures de travail et d’âge minimum.

Nous payons des salaires justes et décents et investissons dans le développement professionnel et la promotion de l’employabilité de nos collaborateurs, convaincus que la croissance du Groupe ne peut se faire sans celle de ses équipes.

Nous protégeons avec diligence la vie privée de nos employés et l’intégrité de leurs données personnelles. En outre, les sanctions financières à l’encontre des employés sont strictement interdites au sein du Groupe.

Dans le cadre de ses valeurs et en référence à sa politique de sécurité, le GINDRE Groupe s’engage pleinement en faveur de la sécurité et du bien-être sur le lieu de travail. Offrir à chacun un environnement de travail sûr et sain est l’une des priorités stratégiques de notre Groupe. Quel que soit le lieu de travail, bureau, atelier ou usine, chacun d’entre nous est acteur de son environnement de travail.

Cela implique le respect strict des protocoles applicables en matière de santé et de sécurité et le signalement immédiat de tout danger, de toute pratique dangereuse, de tout comportement menaçant ou violent, et de toute consommation de drogue ou d’alcool.

 

NON-ESCLAVAGE

Le groupe GINDRE interdit, pour lui-même et ses partenaires, le recours à l’esclavage moderne (esclavage, servitude, travail forcé ou obligatoire, et trafic d’êtres humains).

Le groupe GINDRE interdit également le travail des enfants, tel que défini par l’Organisation internationale du travail (OIT), en veillant à ce qu’aucune personne âgée de moins de 15 ans, ou n’ayant pas atteint l’âge minimum légal de travail lorsque celui-ci est plus élevé, ne soit employée dans des conditions qui enfreignent les réglementations locales ou les conventions internationales. À cet égard, nous assurons une vérification systématique de l’âge lors du processus de recrutement.

Le groupe GINDRE, sur la base et au-delà des réglementations locales, met en place des règles de groupe contre l’esclavage moderne, et/ou révise régulièrement les règles en place, et s’assure que les employés, fournisseurs et autres contractants sont informés ; prend les mesures appropriées lorsqu’un employé / partenaire n’agit pas en accord avec ces règles.

 

PLAN DE REMÉDIATION

Le groupe GINDRE s’engage à mettre en œuvre des mesures de remédiation appropriées en cas de travail des enfants, d’esclavage moderne, de travail forcé ou de traite des êtres humains identifiés au sein de ses activités ou de sa chaîne d’approvisionnement.

En cas de travail des enfants, le groupe prendra des mesures pour retrouver et contacter les tuteurs de l’enfant ou les autorités compétentes afin de faciliter leur réunification.

En cas d’esclavage moderne, de travail forcé ou de traite des êtres humains, le groupe GINDRE retirera immédiatement le travailleur concerné de sa situation et facilitera la coordination avec les ONG locales ou les organismes de réglementation spécialisés dans l’aide et la réinsertion des victimes, et soutiendra, si nécessaire et dans la mesure du possible, la réintégration dans une structure éducative compétente. Dans la mesure du possible, le groupe restera en contact avec ces organisations afin de suivre le bien-être de la personne et, si cela est possible, l’aidera à trouver un autre emploi.

 

CONDITIONS DE TRAVAIL DÉCENTES

Le groupe GINDRE s’engage à garantir à tous ses employés des conditions de travail décentes. Nous respectons la durée maximale hebdomadaire du travail, qui ne doit pas dépasser 60 heures par semaine, ou la limite inférieure fixée par la législation locale.

En outre, nous garantissons à tous nos employés un minimum de 24 heures consécutives de repos par semaine, conformément à la législation en vigueur.

Ces pratiques s’inscrivent dans notre engagement à préserver la santé et le bien-être de nos employés, à favoriser l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et à respecter les valeurs fondamentales du Groupe que sont le respect et la durabilité.

CONFORMITÉ DES ENTREPRISES

CONFLIT D’INTÉRÊTS

Les personnes présentes à tous les niveaux de l’organisation doivent s’assurer que leurs activités et leurs intérêts personnels, directs ou indirects, ne sont pas en conflit avec ceux du Groupe. Chaque membre du groupe doit pouvoir prendre chaque décision de manière objective, dans le meilleur intérêt de l’entreprise. Tout conflit d’intérêts potentiel doit être signalé.

 

LUTTE CONTRE LA CORRUPTION

Nous interdisons formellement toute forme de corruption dans nos relations avec nos partenaires commerciaux et institutionnels et avec l’administration. Aucun engagement ou gratification en nature ne peut être donné dans le but d’obtenir un avantage ou ne peut être reçu au profit d’une entreprise ou d’une personne.

 

COMPÉTITIVITÉ

Dans tous les pays où il opère, le groupe GINDRE respecte scrupuleusement les règles et les lois relatives à la concurrence. Celles-ci garantissent l’autonomie des acteurs du marché et une concurrence ouverte et loyale dans l’intérêt de toutes les parties prenantes. Toute infraction est passible de lourdes sanctions, voire de condamnations pénales, pour l’entreprise et le salarié concerné.

 

FRAUDE ET BLANCHIMENT D’ARGENT

Le Groupe GINDRE s’acquitte de tous les impôts et taxes dus dans les pays où il est présent. Nous refusons toute transaction qui pourrait être suspectée de blanchiment d’argent et nous nous engageons à alerter les autorités compétentes si le cas se présente.

DURABILITÉ DES ENTREPRISES

PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT

En tant que fournisseur de solutions pour les défis énergétiques futurs, le groupe GINDRE prend évidemment en compte le respect de l’environnement tout au long du cycle de production de ses services et produits, en commençant par s’approvisionner en matières premières recyclées.

Nous l’intégrons également dans nos activités quotidiennes en cherchant à réduire notre consommation d’eau, d’énergie ou de papier, conformément à notre engagement environnemental, à notre politique et aux valeurs de notre groupe.

Et nous soutenons toute initiative visant à préserver l’environnement.

 

RESPONSABILITÉ SOCIALE

Nous assumons notre responsabilité économique et sociale sur les territoires où nous sommes implantés. Au-delà des emplois que nous générons, nous encourageons l’implication citoyenne de nos salariés et leur engagement associatif, que ce soit à titre personnel ou dans le cadre d’actions soutenues par le Groupe.

PROCESSUS D’ALERTE

Face à une situation délicate, le GINDRE Group attend de chacun de ses collaborateurs qu’il adopte, en cas de doute, l’attitude attendue suivante :

Agir de manière décisive en posant les bonnes questions :

  • Mon action ou ma décision est-elle conforme à la loi ?

  • Mon action ou ma décision est-elle conforme à la politique d’éthique et aux règles de ma juridiction ?

  • Mon action ou ma décision peut-elle avoir un impact négatif, en termes humains, financiers, environnementaux ou de réputation, sur l’entreprise, mon entourage professionnel ou mes parties prenantes ?

  • Suis-je prêt à assumer mon action ou ma décision en toute transparence si elle est révélée ?


 

Ne restez pas seul face à un problème et n’hésitez pas à demander conseil :

  • Leurs collègues, leur responsable local, leurs ressources humaines ou les personnes de référence.


 

Question et alerte:

Des acteurs de l’éthique sont disponibles au sein du Groupe GINDRE. Dans notre groupe, le système d’alerte est basé sur un processus d’escalade.

 

PROCÉDURE D’ESCALADE

La gestion de l’escalade hiérarchise les problèmes, les évalue en fonction de leur gravité et veille à ce que les représentants appropriés soient affectés à leur traitement. Dans ce contexte, le premier point de contact pour nos employés reste leur direction directe, qui est chargée de s’appuyer sur les contacts de référence du sujet pour traiter directement ou escalader la demande.

 

SOUTIENS ET CONTACTS

La direction générale du groupe est responsable de l’approbation de cette section et du suivi de sa mise en œuvre. La gestion quotidienne des principes et règles énoncés dans cette politique incombe à tous les services concernés, et plus particulièrement aux services suivants.

 

Contacts et gouvernance de GINDRE Groupe :

  • Siège des ressources humaines : santé et sécurité, droits de l’homme et bien-être, relations de travail

  • Siège financier : Conformité des activités

  • Département du groupe des technologies de l’information : Règlement général sur la protection des données (RGPD)

  • Département de la qualité : Environnement, respect des processus de gestion


 

Philippe Michel

PDG